Genre·s et argent : 9e journée d’étude Genre·s

Journée d’étude du groupe Genre·S - 9e édition !
Lors de cette 9e journée d’étude du groupe Genre.S de l’UMONS, on abordera le thème « Genre.S et argent » et on traitera de trois axes sous forme de constats, d’identification des problèmes, d’analyse et de solutions : les couples, les entreprises et l’État.
De quoi discute-t-on ?
De la place du genre ou des stéréotypes dans le rapport à l’argent ainsi que dans la gestion de l’argent au sein des couples, quels qu’ils soient. Si des stéréotypes genrés sont identifiables, quels ressentis en découlent dans le couple et comment agir ? Comment gérer les différences de salaire et la répartition des dépenses dans le foyer ?
De l’influence du genre dans le rapport à la consommation ou dans l’engagement des personnes à postes à haute responsabilité ou rémunération. Comment la publicité s’adapte-t-elle au genre ? Qui gère la comptabilité ou qui occupe les postes de gestion en entreprise ? Quelles sont les compétences requises et quels sont les stéréotypes associés ? Comment gérer les éventuelles discriminations ?
De l’évaluation du coût du genre sur les dépenses sociétales (influence de l’hypervirilité, de la maternité…). Comment l’État peut-il contribuer à supprimer les inégalités entre femmes et hommes en matière d’argent ?
Qui engagera les discussions ?
Pauline Grosjean (UNSW Australie) interviendra en visioconférence pour en finir avec les inégalités femmes-hommes.
Émilie Biland-Curinier (Science Po) fera le point sur les inégalités économiques et les séparations conjugales en France et au Québec.
Kostia Lennes (ULB) parlera des notions de prix et de valeur, d’argent et de désir dans la prostitution masculine.
Lisa Laurence (Paris Dauphine) engagera le genre comme une variable obligatoire dans l’analyse des rapports à l’argent avec l’exemple des jeunes financiers et financières.
Marianela Gallegos (Présence et Action Culturelles - PAC) abordera le statut de cohabitant·e, un modèle obsolète et sexiste qui perpétue une vision patriarcale de la société.
Khadija Nahime (Ville de Mons) traitera la question des femmes migrantes, et des revenus en fonction du travail.

[@MUMONS]

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[@CorneilleWes-uy6ln]

Super ✌🏾😌

[@didierredford8816]

Mon "intuition" me dit que les femmes se dirigent vers les métiers dans lesquels il y a de fortes interactions sociales et où la compétition est relativement peu élevée (médecins, juges, enseignantes, assistantes sociales, drh, etc...). A partir de là je ne suis pas étonné qu'il ait peu de femmes dans la finance. Ensuite la monnaie comme toutes les conventions humaines est au service de ceux qui la dirige, donc en l'occurrence des hommes (une toute petite partie).

[@LehrOlivier-eh2yr]

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