Gustav Mahler, une musique démiurge avec Isabelle Werck

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Durée 00h59m18s - par Jeanne-Martine Vacher - Gustav Mahler est mort il y tout juste 100 ans, le 18 mai 1911. Avec Isabelle Werck, auteur de '' Gustav Mahler '' chez Bleu Nuit Editeur et Stéphane Friédérich, auteur de Gustav Mahler chez Actes Sud qui envisage et replace la trajectoire artistique du compositeur - Réalisé par Olivier Guérin

[@fouloas]

la fête musicale commence par ce poème désabusé "ich bin der welt....." de Rückert sur une musique sublime de Gustave Mahler !

[@michelloncin5823]

Je "tombe" ... par hasard ... sur cette émission d'il y a 12 ans et demi ... Emission très bien faite mais... comment aborder la vie et l'œuvre d'un tel GEANT de la musique en 59 minutes sinon par des "touches" des "notions" pertinentes ainsi que s'emploient à le faire Jeanne-Martine Vacher et ses invités, Isabelle Werck et Stéphane Friédérich ... De ce dernier, je salue le lien qu'il opère entre Gustav Mahler et son héritier direct dans le domaine de la symphonie, Dimitri Chostakovitch ... n'en déplaise à une certaine "avant-garde" ... celle apparue à partir de 1945 en la génération de la musique sérielle ... Il manque cependant à cet héritage un autre symphoniste, SCANDALEUSEMENT méconnu, le suédois Allan Pettersson, d'ailleurs contemporain de Chostakovitch ...

[@fouloas]

avez vous succombé à la musique d'un homme resté enfant toute sa vie; moi oui.

[@marie-francehily8336]

Bel entretien

[@DidierBELMONDO]

Mahler ne fait hélas pas recette ...si j'en juge par le peu de commentaires en réaction à cette émission de France Culture, que semblent bouder même les mélomanes. Peut-être l'écoutent-ils et l'apprécient-ils sans sentir le besoin, l'intérêt aussi, de le faire savoir, de donner des ailes, non seulement à sa musique, qui n'en a pas besoin, mais à sa notoriété, ce faisant, à sa perpétuation, dans la jungle et dans la nuit des modes, pour beaucoup si éphémères, qu'elles n'ont d'autres "vertus" souvent, que d'acculer hélas les oeuvres les plus humainement vertueuses, les plus inoubliables croit-on, à l'oubli. Didier Belmondo.