Merci pour ton retour ! Mon intention n'était pas de reproduire un discours spécifique, mais plutôt de partager mes propres questionnements et réflexions en croisant des notions scientifiques et spirituelles qui me fascinent. J'ai mentionné Joe Dispenza pour son approche intéressante, mais ce n'est qu'une inspiration parmi d'autres. Je suis curieux d'avoir ton point de vue ou tes critiques pour continuer à enrichir mes recherches. 🙂
@laurentcasa401124 күн бұрын
@@sampihuit7438 vous vous intéressez à la physique quantique c'est bien mais pour faire simple l'intrication n'est PAS un déplacement de matière. C'est une corrélation. L'intrication n'est PAS un déplacement d'énergie. L'intrication n'est PAS un processus. L'intrication n'est PAS un signal. . L'intrication n'est PAS un changement d'état. Un L'intrication n'est PAS une superposition d'états.. L'intrication n'est PAS une incertitude sur l'état. L'intrication n'est PAS une dualité onde-corpuscule. L'intrication n'est PAS une téléportation. L'intrication n'est PAS la même particule à deux endroits différents. L'intrication n'est PAS deux particules au même endroit.. L'intrication est une CO-RRÉ-LA-TIO il est vrai que beaucoup font cette l'erreur Mais ce n'est pas qu'une vulgaire corrélation comme une autre (genre discorde, ou corrélation classique ρxy=Cov(x,y)/σxσy ). C'est la corrélation la plus forte autorisée dans toute théorie vérifiant le principe de causalité de l'information (Pawlowsky 2009). C'est la corrélation qui lie toute paire de systèmes ayant des interactions mutuelles (les paires oui, deux-à-deux, marrant hein? On appelle ça entre experts la monogamie de l'intrication - caractéristique prouvée en 2000 par Coffman, Kundu et Wootters). On peut intriquer plusieurs sous-systèmes, mais au prix d'une moindre intrication bipartite. Elle a lieu naturellement. Sans arrêt. Mais elle disparaît vite lorsqu'un couple de système ayant interagi, interagit aussi avec plein d'autres systèmes environnants en permanence. En fait, elle ne disparaît pas vraiment, elle est toujours quelque part, mais on ne la voit pas bien lorsque les deux systèmes concernés forment ensemble un système ouvert: elle a fui dans l'environnement. Et comme on ne s'intéresse pas, par définition, à l'environnement…cela induit du bruit (appellé décohérence) dans l'état -du coup partiel- du système étudié. Enfin, histoire de dissiper une dernière confusion possible, l'intrication est un concept appartenant à la théorie quantique de l'information. De ce fait, elle se fiche que ce soit une intrication "de photons", ou "d'électrons", ou "photon-électron", ou "atome-photon", ou "photon-cavité" etc… Pour "l'observation"Aucun agent n'a jamais eu de pouvoir sur l'issue d'un résultat de mesure une fois la préparation terminée. Ce n'est pas la prise de conscience qui provoque un effondrement du paquet d'ondes, c'est le fait que les composantes des superpositions d'états d'un système observable se couplent nécessairement à des états de l'environnement, qui peuvent devenir distincts (si l'environnement contient un appareil de mesure par exemple) Si la QT vous intéresse je vous recommande le livre de serge Haroche (Nobel) La Lumière révélée et la chaines ScienceEtonnante. Cordialement
@laurentcasa40118 күн бұрын
@@sampihuit7438 vous vous intéressez à la physique quantique c'est bien mais pour faire simple l'intrication n'est PAS un déplacement de matière. C'est une corrélation. L'intrication n'est PAS un déplacement d'énergie. L'intrication n'est PAS un processus. L'intrication n'est PAS un signal. . L'intrication n'est PAS un changement d'état. Un L'intrication n'est PAS une superposition d'états.. L'intrication n'est PAS une incertitude sur l'état. L'intrication n'est PAS une dualité onde-corpuscule. L'intrication n'est PAS une téléportation. L'intrication n'est PAS la même particule à deux endroits différents. L'intrication n'est PAS deux particules au même endroit.. L'intrication est une CO-RRÉ-LA-TIO il est vrai que beaucoup font cette l'erreur Mais ce n'est pas qu'une vulgaire corrélation comme une autre (genre discorde, ou corrélation classique ρxy=Cov(x,y)/σxσy ). C'est la corrélation la plus forte autorisée dans toute théorie vérifiant le principe de causalité de l'information (Pawlowsky 2009). C'est la corrélation qui lie toute paire de systèmes ayant des interactions mutuelles (les paires oui, deux-à-deux, marrant hein? On appelle ça entre experts la monogamie de l'intrication - caractéristique prouvée en 2000 par Coffman, Kundu et Wootters). On peut intriquer plusieurs sous-systèmes, mais au prix d'une moindre intrication bipartite. Elle a lieu naturellement. Sans arrêt. Mais elle disparaît vite lorsqu'un couple de système ayant interagi, interagit aussi avec plein d'autres systèmes environnants en permanence. En fait, elle ne disparaît pas vraiment, elle est toujours quelque part, mais on ne la voit pas bien lorsque les deux systèmes concernés forment ensemble un système ouvert: elle a fui dans l'environnement. Et comme on ne s'intéresse pas, par définition, à l'environnement…cela induit du bruit (appellé décohérence) dans l'état -du coup partiel- du système étudié. Enfin, histoire de dissiper une dernière confusion possible, l'intrication est un concept appartenant à la théorie quantique de l'information. De ce fait, elle se fiche que ce soit une intrication "de photons", ou "d'électrons", ou "photon-électron", ou "atome-photon", ou "photon-cavité" etc… Pour "l'observation"Aucun agent n'a jamais eu de pouvoir sur l'issue d'un résultat de mesure une fois la préparation terminée. Ce n'est pas la prise de conscience qui provoque un effondrement du paquet d'ondes, c'est le fait que les composantes des superpositions d'états d'un système observable se couplent nécessairement à des états de l'environnement, qui peuvent devenir distincts (si l'environnement contient un appareil de mesure par exemple)