C'est tellement fleuri, tellement dense, tellement rapide et enivrant, tellement empoignant, qu'à la coupure je me sens comme une page blanche, insignifiante et vide, et pourtant étourdie. Disons une page blanche qui a virevolté dans un souffle tourbillonnant et tombe lestement. Rien dans la fixité. Tout est emporté par un poète ému qui, au vu de la réalité d'un Louvre détruit, vit une expérience incompréhensible et inexplicable aux personnes qui se tiennent près de lui. Un chef-d'œuvre, c'est peu dire. C'est un parachèvement de maître. Ce récit ne sera pas pour tout le monde, parce qu'il ne se consomme pas, et pourrait bien consummer ses lecteurs attentifs dans des émotions imprévues. J'espère que ce livre verra le jour et ira à la rencontre de ses lecteurs.