Plongée dans les violences conjugales - C à Vous - 02/02/2018

En compagnie de la team #CàVous, Anne Elisabeth Lemoine donne la parole à ses invités pour décrypter et analyser l'actualité.Plus de coulisses, de photos, d'infos, d'échanges, de Live-Tweet, de videos, de #CàVous sur :- Facebook : / - Twitter : @cavousf5- Instagram : @c_a_vous- Snapchat : snapcavous

[@TheonlyLarsNelson]

C'est un film bouleversant et, décidément, Léa Drucker est une extraordinaire actrice!

[@mathisanonymous5864]

Le sujet principal du film n'est pas la violence conjugale.

[@kinou1964]

Des femmes qui sont maltraitées, voir tuées par leur compagnon, on est dans quel siècle ?

[@VLFVLR]

Des hommes qui sont maltraités, voire tués par leur compagnes, on est dans quel siècle?

[@mathisanonymous5864]

@@VLFVLR 1 cas de femmes qui maltraite des hommes contre des milliers de cas d'hommes qui maltraite des femmes tu te foutrait pas un peu de notre gueule.

[@VLFVLR]

mathis anonymous Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales 1 femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son conjoint en France (121/an en moyenne), contre 1 homme tous 14 jours sous les coups de sa compagne (26/an en moyenne). 18% de conjoints morts sont des hommes et 82% sont des femmes. Le rapport est donc de 1 homme pour environ 4,5 femmes. Pourquoi les médias parlent-ils TOUJOURS des 82% et jamais des 18% restants ? Cela s’appelle de la compassion sélective. Concernant les violences conjugales, nous avons en moyenne 89% de femmes victimes chaque année et 11% d’hommes (sur environ 60000 à 80000 cas enregistrés/an). Même si on considère une moyenne de 10% d’hommes sur 70000 cas, nous avons 7000 hommes/an violentés par leurs compagnes et 26 tués. Ne pas en parler, c’est considérer qu’ils sont partie négligeable. Si on ne condamne qu’une partie des criminels (ce que font les médias mainstream) et pas l’autre partie, cela revient à hiérarchiser les victimes (les bonnes et les mauvaises) selon la nature ou l’identité du bourreau (hommes ou femmes) donc choisir un camp au mépris de l’autre. Et choisir un camp (en ne dénonçant pas l’autre), c’est défendre les crimes de celui-là, en l’occurrence les femmes.

[@ferzfezgrzgfvefefez8241]

@@VLFVLR d'autres œuvres cinématographiques se prêtent à l'argument que vous mettez en avant, d'autres livres, d'autres histoires. Pourquoi ramener votre fraise sur ce film ? C'est déplacé et irrespectueux. On en attend pas moins d'un gars avec une fleur de lys en profil.

[@Alice-bv9wg]

Film bouleversant et tellement réaliste malheureusement...

[@agathasebka5924]

Moi j'ai senti pour la femme et pour les enfants...

[@VLFVLR]

"Moins de 20% des victimes de violences conjugales osent porter plainte" Anne Elisabeth Lemoine. J'en déduis que 80% des victimes de violence conjugales n'osent pas porter plainte. Les hommes victimes de violences conjugales sont-ils tous dans ces 80%, de sorte qu'on en parle jamais?

[@laurencer1318]

on en parle aussi mais c'est encore très tabou. Cependant ce sont les femmes globalement victimes de violence conjugale donc pas étonnant qu'on parle plus de leur cas, car en fait c'est très courant.

[@VLFVLR]

Laurence R La proportion est de 10% d’hommes violentés contre 82% de femmes. 121 femmes/an tuées contre 26 hommes/an. 18% d’hommes tués contre 82% de femmes. Je dis qu’on n’a pas le droit moralement de ne pas parler/dénoncer les violences des femmes. Pouvez-vous me trouver une émission de télé en plateau ayant consacré un n° spécial aux femmes violentes et établir la proportion. Il faudrait à minima que le nombre d’émission représente 20% du nombre d’émission consacrées aux femmes pour respecter cette proportion.Les hommes violentés ou tués ne méritent pas moins la compassion des médias.