Gaspard Koenig invité d'Un monde un regard

Le monde, il le rêve plus libre, sans contrainte. A rebours d’une époque qui entend protéger les individus les uns des autres, des virus, et du risque en général. En 2020 ce philosophe libertarien a pris les chemins de traverse. A cheval sur les traces de Montaigne il a parcouru près de 2500 kilomètres. Un itinéraire sans route ni radar. Recalé de l’élection présidentielle où il n’a pas pu candidater faute de parrainages, Gaspard Koenig n’a pas abandonné l’envie de changer le monde et de l’alléger des règles qui selon lui nous étouffent.
Cette semaine Rebecca Fitoussi reçoit Gaspard Koenig dans « un monde, un regard ».
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[@johnsloane8523]

Un monde, un regard, un brushing.

[@luct6612]

Super interview. J'adore le concept de la liberté associé a la simplicité, le dépouillement !

[@yannickbossard6902]

Merci public sénat pour ces émissions un monde un regard. Félicitation à cette journaliste professionnelle et agréable🤗

[@yannickbossard6902]

Mme Fitoussi

[@opi9779]

Il y a le "libéralisme" version Macron : les entreprises et les gros patrons font ce qu'ils veulent sans rendre de compte a personne, pour tout les autres c'est la surveillance et des comptes a rendre. Et il y a Gaspard Koenig qui suivant sa propre idéologie, redonne tout son sens au terme "liberté" du libéralisme. Respect a lui.

[@robertdehauteville8855]

Le bougre a soutenu macron en 2017, mais bon, beaucoup se sont fait à l'époque...

[@YY-jh7fg]

Il partage avec Macron d’être un Young Leader comme Trudeau etc.. on voit actuellement ou cela mène, de fausses libertés dominées par la traçabilité et le contrôle à la chinoise. Il appartenait au groupe communiste à science Po en relation avec la Chine.

[@elyseeologie]

Le libéralisme version Macron ça n'existe pas. Ce n'est pas du libéralisme si ça favorise une catégorie et surtout s'il n'y a pas de principe de responsabilité qui est au coeur de la doctrine libérale.

[@flxrldmr]

Mais les petits patrons aussi sont très contents des "réformes du travail" de Macron, et toutes les entreprises reposent sur le principe simple : l'exploitation de la force de travail par le salariat. Évidemment les petites entreprises, qui ne réussissent pas à exploiter autant de mondes que les grosses, et qui n'ont pas le même rapport de force face à l'État, prétendent souffrir de ce système... Si les petits patrons souffrent du capitalisme, ils n'ont qu'à devenir communistes

[@elyseeologie]

@@flxrldmr Ils souffrent d'un capitalisme qui n'a rien de libéral. C'est là tout le problème. Ce que vous appelez "capitalisme" n'en est pas un, mais une forme masquée de socialisme.

[@yannickbossard6902]

Philosophe pratique et homme politique clair et clairvoyant

[@yannickbossard6902]

Personnalité très apprécié par chez nous

[@patrickfloch9972]

faut libertarien

[@yannickbossard6902]

4:58 protéger l'individu contre lui-même ?

[@yannickbossard6902]

15:54 les parrainages

[@yannickbossard6902]

20:00 voyage à cheval

[@tied515]

C'est une grosse contradiction selon moi de se revendiquer libertarien et de demander un revenu universel. Celui-ci serait financé par un impôt tellement colossal qu'il entrerait contradiction avec le droit à la propriété privé. On pourrait même le voir comme une obligation pour les individus de prendre soin des autres individus. Sans rentrer dans le débat du caractère souhaitable ou pas souhaitable de cette perspective, ce n'est pas du tout libéral.