Quand la France entre en révolution, avec Emmanuel de Waresquiel

[@storiavoce2091]

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[@sararsa1159]

Contrairement à certains commentateurs, j'aime lire et écouter E de Waresquiel : il sait mettre les événements historiques en scène ; il cherche à comprendre les motivations, les réactions, les états d'âmes des acteurs. C'est un peu du théâtre classique.

[@resurgences5527]

Les précisions et les hauteurs de vue de Monsieur de Waresquiel nous captivent.

[@corespond1274]

Merci pour cette émission.

[@going_south]

Plus d'émissions sur la révolution s'il vous plaît ! C'est la partie de l'histoire de France que je préfère... merci.

[@michel-felixbyl7902]

Très intéressant.

[@brancourtvincent6999]

Remarquable ! Merci beaucoup !

[@williamdenault9576]

Superbe

[@lucasponzevera4853]

Très très bien

[@thibaud1832]

10-17 juin 2024

[@murielfilali9509]

« Euh » « euh » « euh » euhhhhhh euhhhhhh euhhhh. Inaudible. Dommage.

[@thibod65]

Même constat.

[@ericmartin5592]

Les journées des 17 au 23 juin ne sont pas si révolutionnaires. Les discours d'inauguration des États Généraux sont malheureusement souvent négligés. Louis XVI, bref, annonce notamment que sa confiance dans la suite des événements. "a déjà été justifiée par les dispositions que les deux premiers Ordres ont montrées à renoncer à leurs privilèges pécuniaires" Puis il demande à son Garde des Sceaux (Barentin) de "faire part de ses intentions". Barentin annonce la fin des privilèges fiscaux : "Les deux Ordres privilégiés ont déjà fait éclater de toutes parts les sentimen(t)s de justice et d’équité qui les animent, et le projet qu’ils ont formé de renoncer volontairement aux avantages pécuniaires dont ils jouissent." annonce un ordre du jour bien plus vaste que les questions fiscales "L’impôt, Messieurs, n’occupera pas seul vos délibérations" "aux nombre des objets qui doivent fixer votre attention sont - les mesures à prendre pour la liberté de la presse ; - les précautions à adopter pour maintenir la sûreté publique, et conserver l’honneur des familles ; - les changemen(t)s utiles que peut exiger la législation criminelle, pour mieux proportionner les peines aux délits, et trouver dans la honte du coupable un frein plus sûr, plus décisif que le châtiment, - la procédure civile qu’il faut simplifier. Barenton emploie l'expression "enfants de la partie" annonce que "tous les titres se confondront dans le titre de citoyen" (!) Necker emploie à mainte reprise l'expression "assemblée nationale" pour désigner les États Généraux annonce un vaste projet de réformes générales ( dont un Code Civil unifié.....) Quel contraste avec la séance catastrophique du 23 juin

[@thibod65]

Émission inécoutable, avec un intervenant qui prononce plus de « eeeeee » que de mots. J'ai décroché au bout de dix minutes. Vous devriez vous préoccuper plus de la qualité sonore de vos émissions. Dans une autre, l'invité ne cessait de jouer avec le micro. Ce genre de truc peut vraiment finir par distraire du contenu, et être parfaitement agaçant.

[@jandron94]

Bon il vont pas non plus l'attacher à sa chaise ou lui faire porter des moufles. Il faudrait une solution logicielle pour repérer et gommer les eeeee et les répétions/balbutiements (un autre défaut d'élocution commun à pas mal d'invités mais pas ici) avant que l'émission ne soit mise en ligne.

[@thibod65]

@@jandron94, simple faire plus attention à la prise de son - ou avoir recours à quelqu'un qui s'y connaît un brin. Suffit pas de planter quelqu'un devant un micro.

[@wallistag8888]

La folie déchainée.

[@fabioelmono7154]

Ce monsieur est surtout un grand spécialiste du discours genre universitaire et chiant, si me permettez l'expression. Vite, une parole subjective et passionnée, ou je me liquéfie !

[@aqh722]

Il faut écouter Henry Guillemin pour un discours passionné et subjectif.

[@peintresse_17]

Personne ne vous oblige à l'écouter.