Tristan Murail, Treize couleurs du soleil couchant (1978)

[@klangschatten5610]

Merveilleux.

[@MegaCirse]

Ce travail me semble remarquablement pictural, un son analogue spectral qui dépeint ici en sonorités, la peinture de Monet. La masse du bâtiment (église? Mosquée?) Dans le Monet est suggérée par une "Pédale" : un son long et soutenu qui va du registre aigu de la flûte à la clarinette du registre central aux notes de basse profondes du piano. Pourtant, cet «objet», à la fois dans la peinture et dans la musique, est «dématérialisé» par la lumière changeante. Il semble être absolument immobile, mais constamment en mouvement scintillant. Ce qui est merveilleux est la délicatesse exquise de la texture, encore une fois, comme cette peinture exquise !!.

[@solomonepstein5907]

This work strikes me as remarkably PICTORIAL, an analogue in sound to the Monet painting. The solid mass of the building (church? mosque?) in the Monet is suggested by a "Pedal" : a long-sustained tone moving from the high register of the flute to the middle register clarinet to deep bass notes of the piano. Yet this "object", in both the painting and the music, is "dematerialized" by shifting light. It seems to be absolutely still, yet constantly in shimmering motion. What is wonderful is the exquisite delicacy of the texture--- again, like the Monet.

[@amelchi]

venice!

[@F0nseKa10]

ty

[@alexj1161]

Maybe a combination of Scriabin and 1960s Feldman?

[@stueystuey1962]

I like this. New to the composer. Jarring and spectral, while I dont find it relaxing - too screechy- it has more warmth than for example Manoury and less edgy than Dusapin.