Vivre avec un trouble de la personnalité limite : Parcours vers la stabilité

L'ACSM Filiale de Montréal reçoit Ève Miron, qui livre un témoignage poignant entourant le trouble de personnalité limite (TPL) et son processus de rétablissement.
TRAUMAVERTISSEMENT : mention d'automutilation, d'abus sexuel et de suicide
Résumé du webinaire :
Ayant reçu un diagnostic de trouble de personnalité limite (TPL) et trouvé la stabilité au fil de démarches thérapeutiques et au-delà, notre invitée Eve Miron abordera son parcours personnel, les symptômes qui se sont manifestés chez elle, ainsi que les étapes de son rétablissement qui lui ont permis d’atteindre cette stabilité.
Après plusieurs années de cheminement ainsi que du recul quant à son parcours, Eve est en mesure d’identifier ce qui l’a plus aidée à accéder à un meilleur bien-être, malgré une série d’événements difficiles.
Elle souhaite aujourd'hui partager son histoire afin d’aider les autres à mieux comprendre et percevoir le TPL de manière positive.
Biographie de notre invitée :
Ayant reçu un diagnostic de trouble de personnalité limite (TPL) et trouvé la stabilité au fil de démarches thérapeutiques et au-delà, notre invitée Eve Miron abordera son parcours personnel, les symptômes qui se sont manifestés chez elle, ainsi que les étapes de son rétablissement qui lui ont permis d’atteindre cette stabilité.
Après plusieurs années de cheminement ainsi que du recul quant à son parcours, Eve est en mesure d’identifier ce qui l’a plus aidée à accéder à un meilleur bien-être, malgré une série d’événements difficiles.
Elle souhaite aujourd'hui partager son histoire afin d’aider les autres à mieux comprendre et percevoir le TPL de manière positive.

[@nathalieraiber-progin9680]

Merci de tout cœur, pour la profondeur de ce webinaire, tellement bien expliqué, une pépite! Soyez bénie pour la suite de votre chemin 🙏❤️❤️❤️

[@masterdjon]

Merci pour ce partage, Eve! Il n'est pas facile de s'exposer comme cela en public. Merci également à toute l'équipe!

[@louiseamyot7396]

Merci ❤

[@juliemassaloux1870]

Trop peu de gens parle de cela Je suis borderline et ces pleurs intenses je les connais. Perdre les gens s adapté sans être soi

[@marieserre2903]

BEAU TEMOIGNAGE / UNE REALITE QUE JE PARTAGE / DES OUTILS UTILES MERCI DE LES EXPLIQUER AUSSI CLAIREMENT / PASSEE PAR UNE TCC DE GROUPE AUSSI CA AIDE UN TEMPS MAIS PAR MALCHANCE JE N'AI PAS D'ENTOURAGE AIDANT / POUR EVITER LES CRISES LES MEMES QUE TOI (VIDE, COLERE, TRISTESSE) JE M'ISOLE CHEZ MOI ET J'ATTENDS UNE FIN N'IMPORTE LAQUELLE (PAS LE SUICIDE, IMPOSSIBLE J'AI UN FILS) / LA VIE DE BORDERLINE EST SI INTENSE QU'A MON AGE 49 ANS J'AI L'IMPRESSION D'EN AVOIR 80 JE SUIS EPUISEE / PAR CONTRE JE SUIS FIERE TOUS LES JOURS D'ÊTRE ENCORE DEBOUT / MA VIE A ETE RICHE DE TOUT EN DEMULTIPLE / IL M'A FALLUT UNE FORCE INCROYABLE / COE IL Y A UNE FIN A TOUTE CRISE J'ESPERE UNE FIN A MA VIE PAS TROP LOIN / DESOLEE SI JE PLOMBE L'AMBIANCE / COURAGE A TOUS

[@corinnebeaufils157]

Si on est borderline seuls la thérapie et les médocs sont indispensables. Ça ne se guérit mais ça se soigne. Il faut apprendre à gérer ses émotions. On peut aussi appréhender la colère pour ne pas péter les plombs.

[@imsofiamusic]

Intéressant mqis je reste perplexe que cette jeune femme, Eve, parvient à se stabiliser sans aucun traitement. L'qnxiété et la dépression sont non seulement cognitif mais aussi chimiques. Donc si tous les jours Eve rencontre des situations d'anxiété et de fatigue (comme nous tous), si elle parvient à tout stopper juste en mangeant un plat italien, tant mieux, mais je reste perplexe. Moi-meme ayant un TPB, malheureusement, on a des tools (et qui sont bien différents de ceux que nous dévelopons nous-mêmes et très utiles), ces tools professionnelles sont indispensables. Tout se complètent. Et aussi, il faut dire que beaucoup d'entre nous n'ont pas ce soutien idyllique qu'Eve décrit. Loin de là car souvent le TPB vient de schémas familiaux complexes, de traumas, etc. Donc je trouve son discours très idyllique. Et elle est très calme pour quelqu'un qui ne comprend aucun médicament. Niveau thérapie, continue t elle ? (Je parle notamment de son anxiété sociale: comme la gère-t-elle? Son schéma est = aider les autres pour s'effacer elle-même.) Je trouve tout ça bien facile (et je sais de quoi je parle). Une thérapie serait aidante dans cette anxiété sociale. J'ai appris une chose: il faut savoir demander de l'aide et ne pas vouloir tout régler seul.e. ;)