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Respecter l’Accord de Paris c’est « éviter l’ingérable », en limitant l’aggravation du dérèglement climatique. Pour ce faire, il faut une forte et rapide réduction des émissions de gaz à effet de serre, et notamment se débarrasser des énergies fossiles.
Pour y parvenir, une petite molécule suscite beaucoup d’espoir, l’hydrogène ! S’il est peu carboné, il pourrait être une des clés de la transition énergétique, tout en renforçant notre indépendance.
-Quelle est la pertinence de l’hydrogène au sein des différents usages étudiés face aux autres options décarbonantes ?
-Quels volumes d’hydrogène bas-carbone seraient nécessaires en 2030 pour répondre aux objectifs de décarbonation des secteurs analysés ?
-Compte tenu d’une tension sur les volumes d’H2 bas-carbone disponibles en 2030, quels secteurs sont prioritaires ?