Bons conseils. Et au final, il ne faut surtout pas se prendre la tête. Se prendre la tête, c'est se paralyser, comme Ulysse chez Calypso (Cacheuse) ressassant et pleurnichant sur son rocher parce qu'il rêve de rentrer chez lui, sans rien faire pour. Jusqu'à ce qu'il se prenne en mains et se construise un radeau, grâce à son mental revenu. Ne pas décrocher de ce qu'on est en train de faire, jusqu'à ce que ce soit fait. Ne pas non plus surestimer l'objectif : s'il est atteint, tant mieux, sinon ce n'est pas grave, l'objectif ne doit pas devenir notre maître. Quant aux deux marathons de Greg, il faut aussi tenir compte du fait que les conditions étaient différentes, plus dures le jour du marathon de Paris dans la chaleur humide (et a-t-il fait le même parcours, avec le même dénivelé ?) Tout ne dépend pas de nous, il y a aussi des conditions qui nous dépassent et c'est tant mieux, sinon nous serions enfermés en nous-mêmes !
@Clement_Huriez5 ай бұрын
Merci pour ton super retour ! Les conditions météos étaient semblables et le parcours plus plat le deuxième jour mais ne justifiant que quelques minutes grand max 😉
@bdupas5 ай бұрын
Bonjour. Très bons conseils. Pour celui de visualiser la course, la frontière est mince avec le fait de faire la course x fois avant le jour J...
@Clement_Huriez5 ай бұрын
Hello, en effet ! C’est la manière et la fréquence qui diverge surtout 😉
@youpigirl57315 ай бұрын
Il y a aussi les éternels insatisfaits
@Clement_Huriez5 ай бұрын
Exact ! Très vrai, toujours difficile de prendre le temps d’apprécier le chemin parcouru !