LA CULTURE DU VIOL DANS LA SPIRITUALITE, LE BIEN-ETRE, LE DVPT PERSONNEL

[@erwanleboette72]

Entièrement d'accord !

[@aureliej755]

Merci pour cette vidéo. ❤ Cette croyance m'a fait beaucoup de mal. Je me disais 'si cela (un cela pas sympa et pas facile à vivre) m'arrive c'est parce que mon moi supérieur l'a voulu/décidé, pour mon plus grand bien, afin que j'évolue et que je travaille la notion de pardon'. Résultats, pendant des mois je me suis dit que mon moi supérieur est un put*** de gros cona**. Je ne me faisais pas confiance puisque mon 'moi supérieur' n'avait pas de bienveillance, que la justice humaine en avait plus car battre un enfant pour son bien est un mode d'éducation interdit. Je lui disais qu'il fallait qu'il pense à évoluer, à monter en conscience parce que là franchement pour un moi supérieur il était au ras des paquerettes'. Bref cette croyance avait entraîné un gros désordre interne.

[@mathildapoussieredetoile]

Je comprends

[@erwanleboette72]

Cela touche au problème de la multiplication actuelle d'escrocs, qu'ils se réfèrent à du religieux ou de la psychologie. Diaboliser les victimes est à la mode c'est l'opposé de la spiritualité. Souvent ces gens là emploient le terme "bienveillance" sans arrêt, tout en culpabilisant. Perso, à cause de ça, ce superbe terme m'exaspère.

[@amoregratidao3352]

Le gang rose je crois, j'en ai entendu parler.😊 Merci pour cette vidéo nécessaire.

[@mathildapoussieredetoile]

oui , c'est ça 🙂

[@TanguyGuermeur-iz5fv]

Question de la fin une ame Ou un paradigme

[@gaiaterredetoiles]

Je suis l'une des "psy" qui passe par là. Et pour tout psy, la réalité est d'abord subjective, c'est à dire que l'on va se concentrer sur ce qui est vécu émotionnellement intérieurement et que c'est à partir de cette réalité là que l'on chemine avec la personne. Je dirais que d'un point de vue purement psychologique et humain, il est nécessaire de reconnaître le statut de victime dans un premier temps, car la personne concernée, bien souvent, se trouve elle même dans la banalisation (liée aux injonctions et croyances sociétales) et /ou le déni et la dissociation instaurés comme système de défense de la psyché tant ka violence est grande et menace la destruction de l'être. A mon sens il y a plusieurs "espaces" à prendre en compte. Le premier est la personne ici incarné sur terre, dans son vécu d'être humain, dans ses émotions, dans les répercussions psychologiques indiscutables (c'est notre réalité terrestre actuelle). Nous sommes incarnés ici actuellement, en tout cas c'est cet espace de conscience avec ses propres règles qui prédomine sur tous les autres actuellement dans notre état de conscience actuel, c'est donc à partir de ces règles là qu'il faut considérer les choses. Dans certains autres espaces de conscience par exemple, les émotions n'existent pas. Ce n'est pas le cas ici sur terre pour l'instant. Le nier, c'est être dans la négation de notre réalité. Il est donc indispensable à mon sens en tant qjz thérapeute de commencer par accueillir et valider cela comme la réalité. Comme le disait très justement Krishna Murti "ce n'est pas un signe de bonne santé mental que de s'adapter à une société malade". Ensuite seulement peut se poser la question des vies antérieures, du karma, et de nos représentations face à notre vécu actuel... Comme dans toute autre circonstance de vie j'ai envie de dire. Mais il ne s'agit pas de faire culpabiliser... Car dans cette vie, je n'ai pas choisi consciemment de vivre ce que je vis. Si certaines mémoires liées à mes vies passées ou parallèles ou multidimensionnelles ont besoin d'être libérées, alors je peux me pencher sur la question, mais seulement après avoir accueilli et dorloté toutes les parts de moi qui en ont immensément besoin depuis cet espace d'incarnation actuel et avoir validé tous mes ressentis et émotions ICI. Car pour l'instant, c'est le seul espace qui compte. Voilà mon point de vue actuel. Je reste très intéressée par cette question de karma et de retour karmique. Je pense qu'il reste valable dans la matrice mais je me pose la question de savoir si depuis notre place d'être humain, conscient de la matrice, il est d'ores et déjà possible d'en sortir depuis notre espace ici ou non et de le transcender jusque dans nos cellules depuis l'espace de la matière. Pour l'instant que peu d'êtres en ont été capables jusque là mais pourquoi pas par la suite. Bref, là ce sont des suppositions ouvertes, je reste très intéressée par d'autres points de vue à ce sujet. Merci Mathilda d'ouvrir à la profondeur de ces réflexions 🙏🏻

[@mathildapoussieredetoile]

Merci de ton éclairage