Louis Couperin (1626-1661) - Pièces de Clavecin par Blandine Verlet. *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-03:43) Suite pour clavessin in A Minor I.Prélude (00:00) II.Allemande l’amiable (06:05) III.Courante dite la Mignone (08:39) IV.Sarabande (09:52) V.La Piémontaise (12:48) VI.Menuet de Poitou - Double du menuet (14:27) Suite pour clavessin in C Major V.Passacaille (16:11) Suite pour clavessin in F Major I.Prélude (21:35) II.Allemande (24:35) III.Courante 1 (27:35) IV. Courante 2 (28:56) V.Sarabande (30:03) VI.Branle de Basque (33:40) VII.Gigue (34:25) VIII.Chaconne (36:08) Suite pour clavessin in G Minor: IV.Sarabande (39:42) V.Chaconne (42:54) Trois courantes in G Major No.1 (44:22) No.2 (45:33) No.3 (46:52) Suite pour clavessin in C Major I.Prélude (48:20) II.Allemande de Mr. de Chambonnières "Le moutier" (51:31) III.Double du moutier par Mr. Couperin (53:52) IV. Courante 1 (56:13) V. Courante 2 (58:01) VI.Sarabande 1 (59:34) VII.Sarabande 2 (1:01:25) VIII.Chaconne (1:03:07) Suite pour clavessin in C Minor Gigue (1:06:05) Suite pour clavessin in C Major I.Prélude 1 (1:08:08) II.Courante 1 (1:10:30) III.Sarabande 1 (1:11:57) IV.Rigaudon et double de rigaudon fait par Mr Couperin (1:13:55) V.Gavotte de Mr le Bègue et double de la Gavotte par Mr Couperin (1:16:46) VI.Menuet (1:18:43) Trois sarabandes in D Minor No.1 (1:19:52) No.2 (1:21:18) No.3 (1:22:54) Suite pour clavessin in E Minor I.Prélude (1:25:34) II.Allemande de la paix (1:26:57) III.Courante (1:30:12) IV.Sarabande (1:31:45) Suite pour clavessin in A Minor I.Prélude (1:35:06) II.Allemande 1 (1:36:08) III.Allemande 2 (1:38:58) IV.Courante 1 (1:42:27) V.Courante 2 ‘’La mignonne’’ (1:43:56) VI.Courante 3 (1:45:37)VII.Sarabande 1 (1:48:01) VIII.Sarabande 2 (1:49:52) IX.Gavotte de Mr. Hardel - Double de la gavotte par Mr. Couperin (1:51:28) Suite pour clavessin in D minor I.Allemande (1:54:30) II.Courante 1 (1:58:38) III.Courante 2 (2:00:21) IV.Sarabande 1 (2:02:13) V.Sarabande 2 (2:03:35) VI.Canaries (2:05:30) VII.Volte (2:06:46) VIII.La pastourelle (2:07:41) IX.Chaconne ‘’La complaisante’’ (2:09:09) Trois sarabandes in C Major No.1 (2:12:17) No.2 (2:14:09) No.3 (2:15:12) Clavecin : Blandine VERLET Recorded in ?, at Colmar Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr La dynastie des Couperin a souvent été comparée à la dynastie Bach. Le rapprochement est d'autant plus séduisant que le plus ancien musicien connu du nom de Couperin, Mathurin, fut contemporain de Veit Bach (1619), le meunier mélomane, arrière-arrière grand-père de Jean-Sébastien, tandis que Céleste Couperin, organiste et professeur de piano, s'éteignit en 1860, quinze ans après la mort de Wilhelm Friedrich Ernst Bach. Les deux dynasties ont la même durée, la même ascension et culminent presque au même moment. La musique remonte beaucoup plus loin chez les Couperin qu'on ne le croyait encore récemment. Mathurin Couperin (1569-1640), ‘laboureur’ et ‘procureur’ à Beauvoir, petit village de la Brie, possédait le titre de « maître joueur d'instruments », qui allait passer à son fils Charles. L'inventaire après décès de celui-ci montre, chez un simple « tailleur d'habits » à Chaumes-en-Brie, de nombreux instruments de musique : violons, violes, flûtes, hautbois, qui laissent supposer une pratique musicale de quelque importance. Des mariages attestent tout un réseau d'alliances avec des musiciens, et une vie artistique étonnamment intense dans ce milieu de paysans, artisans et hommes de loi à l'échelle d'une bourgade de province. Trois fils de Charles I Couperin, Louis, François I et Charles II, découverts par le claveciniste de la Cour Jacques Champion de Chambonnières, opèrent la « mutation» et adoptent l'état de musiciens professionnels. Louis Couperin (Chaumes-en-Brie 1626-Paris 1661), installé à Paris vers 1650 à la suite de Chambonnières, est nommé violiste de la Chambre du roi et titulaire de l'orgue de Saint-Gervais en 1653 (cet instrument restera dans la famille jusqu'en 1830). Pressenti pour occuper la charge de claveciniste de la Chambre, il se récuse pour ne pas porter tort à son bienfaiteur Chambonnières, et est nommé ordinaire de la Chambre pour la viole, et comme tel accompagne les ballets de cour. A sa connaissance du style français, Louis Couperin joint très vite celle de la manière italienne, qu'il a acquise, semble-t-il, au contact de Froberger (à Paris en 1652). Auteur de 130 pièces de clavecin et 70 pièces d'orgue connues à ce jour (mais partiellement inédites), de Fantaisies pour les violes, de 3 Fantaisies en trio, il a écrit une musique d'une grande audace harmonique et d'un lyrisme contenu. ‘Préludes non mesurés’ à la manière des luthistes français côtoient des pièces à la manière de Frescobaldi, des pièces de danse pour le clavecin, des fugues et fantaisies pour l'orgue, qui témoignent, avant son neveu François II Couperin, du souci d'allier les «goûts» français et italien. Il meurt en 1661, à trente-cinq ans. Blandine Verlet (1942-2018) a suivi les cours d'écriture, d'esthétique avec Marcel Beaufils, d'histoire de la musique avec Norbert Dufourcq et de clavecin avec Marcelle de Lacour au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. En 1963, elle a obtenu un Premier Prix de clavecin à l'unanimité et le Prix spécial du Concours International de Munich. De 1962 à 1964, elle se perfectionne auprès d'Huguette Dreyfus à l'Académie d'été de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Elle fréquente aussi les cours de Ruggero Gerlin à l'Académie Chigiana de Sienne. Elle travaille avec Ralph Kirkpatrick à l'Université Yale en 1968-69. Depuis 1963, elle mène une carrière internationale de concertiste. Elle a été professeur de clavecin au Conservatoire Claude-Debussy (Paris 17e), de 1983 à 1985, au Conservatoire Gabriel-Fauré d'Angoulême de 1985 à 1987 et au CNR de Bordeaux de 1987 à 1990. Elle a enseigné au CRR de Rueil-Malmaison ainsi qu'au Conservatoire Jean-Philippe-Rameau (Paris 6e) jusqu'en 2007. Blandine Verlet a obtenu le Grand Prix de l'Académie Charles-Cros et le Grand Prix du Disque de l'Académie du Disque Français. Louis et François Couperin PLAYLIST (reference recordings) : kzbin.info/www/bejne/hIHOXpZ7ZZlqhrc
@roycejaziel89583 жыл бұрын
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@remingtontanner50043 жыл бұрын
@Royce Jaziel instablaster ;)
@roycejaziel89583 жыл бұрын
@Remington Tanner thanks for your reply. I found the site thru google and im waiting for the hacking stuff atm. Seems to take a while so I will reply here later with my results.
@roycejaziel89583 жыл бұрын
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@remingtontanner50043 жыл бұрын
@Royce Jaziel You are welcome xD
@vivierjean-marc35883 жыл бұрын
Les plus belles pages de la musique française: charme, sensibilité, grâce, délicatesse etc. Louis Couperin utilise des jeux d'ombre et de lumière, les contrastes entre volumes sonores, les ornements les plus variés pour accrocher l'auditeur et l'impliquer dans la démarche de son imagination, de sa créativité. Une merveille qui nous rappelle la grandeur culturelle et artistique de la nation française. Une grandeur passée !
@MegaCirse Жыл бұрын
Dans cette musique flotte une sorte de brume propice aux rêves et aux dérives douces. Un climat de paix retrouvé que l'on ressent parfois sans savoir exactement pourquoi pendant certaines journées d'hiver ! Cet artiste construit un discours d'intériorité, de respiration, qui sait faire place au silence
@tepmich6 жыл бұрын
Cette magique musique éveille un drame profond mais sain et aussi bien un courage inébranlable dans l'âme de la personne. Tout cela a vécu une fois sans aucun doute dans Louis Couperin, et maintenant - dans l'auditeur. Blandine Verlet connaissait ces secrets de Louis et donc joue si magnifiquement !!! Tepper Michael.
@tepmich6 жыл бұрын
Les Mélos baroques et classiques peuvent drainer la douleur et les larmes de la vie terrestre !!! Tepper Michael.
@tepmich6 жыл бұрын
Baroque and classic Melos can dry out the pain and tears of earthly life !!! Tepper Michael.
@claim2game0276 жыл бұрын
OUI!! C'est super!! Merci
@classicalmusicreference6 жыл бұрын
:)
@tepmich6 жыл бұрын
Barocke und klassische Melos können die Schmerzen und Tränen des irdischen Lebens austrocknen !!! Tepper Michael.
@aldoloconte40664 жыл бұрын
Musica magnifica e interpretazione/esecuzione fantastica!
@christophemeloche32695 жыл бұрын
Superbe interprétation
@dartme186 жыл бұрын
Very nice; thank you!
@andyschnabel52256 жыл бұрын
Thanks!
@musicaantigua8696 жыл бұрын
Muchas gracias y saludos cordiales desde Mallorca Baleares para vosotros classick music
@fransmeersman23345 жыл бұрын
Thanks again !! Fantastic performance & great harpsicord.
@classicalmusicreference5 жыл бұрын
:-)
@10Slayer014 жыл бұрын
Simply magnificent! The piece at 16:11 is the most impacting and powerful I've ever heard.
@TheGloryofMusic3 жыл бұрын
Yes, that is a remarkable work, and especially the turn to the minor mode near the end. I recommend also this recording with Skip Sempe: kzbin.info/www/bejne/pXaweIaFrZp_is0
@CalabazaVacia5 жыл бұрын
Hermoso, hermoso.
@perrytownsend41516 жыл бұрын
Gorgeous! What tuning system is this?
@gabriels.i.78011 ай бұрын
Did Bach take a fragment of the melody from Couperin's "Chaconne from the suite in G minor" in his prelude for "Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ", BWV 639 ???????
@Arteshir11 ай бұрын
A THOUSAND LIKEs
@n33to2 жыл бұрын
36:04 ✅
@欺软怕硬5 жыл бұрын
I think the main difference between western and eastern art form in general is that eastern art has much less rigid structure and rule enforcement. A lot of liberty is taken in the form of let the chips fall where they may in eastern art.
@louiscouperin37313 жыл бұрын
and how is this related to the video?
@欺软怕硬3 жыл бұрын
@@louiscouperin3731 This is after the Renaissance where artistic structures were explored to their limits. The actual Renaissance period is more associated with visual art structures. Musical structure is even more developed after that period and reached its limit in the Baroque period. It's more of a philosophical concept applied to all forms of art that didn't see any equivalent of such uniformity of thoughts in the Eastern regions.