Ça me fait repenser au monumental roman "Les Grandes Espérances", de Charles Dickens... Merci Juliette ! ^^
@hendrixharvey65063 жыл бұрын
I know im asking the wrong place but does someone know a method to get back into an instagram account? I somehow lost the account password. I would love any help you can offer me.
@vincentgordon79343 жыл бұрын
@Hendrix Harvey instablaster :)
@Marc-Alain.Kairos3 жыл бұрын
Ce serait formidable si Juliette A pouvait animer sa propre émission sur "Érotisme et Littérature" avec tout plein d'invité. es qui pourraient lire des extraits d'ouvrages. A roder par exemple pendant la session d'été le soir entre 23h00 et minuit. Oui ?
@beatricechauvel82372 жыл бұрын
Artistiquement, ce roman est un complet ratage. Le premier quart du roman est pourtant impeccable (celui qui représente la quasi totalité du résumé de la vidéo de Juliette Arnaud). J’aime aussi beaucoup la fin abrupte qui ne résout rien et qui, en cela, parait authentique. Entre les deux, c’est le néant. Sally Rooney se montre incapable de décrire les émotions des personnages. Soit elle n’a aucun talent, soit elle était pressée. Elle emploie un cache-misère qui ne marche pas : elle fait traverser à ses personnages des situations variées. Multiples relations amoureuses, complexe d’infériorité sociale, peur d’être abandonné, besoin immature d’acceptation, tentations de suicide etc. À chaque fois, l’émotion est décrite en trois mots et les actions en trente pages. L’autrice espère que le lecteur fera le travail à sa place et prêtera aux personnages les émotions qu’elle n’a pas le talent d’écrire. Est ce malin ? Non. Le résultat, ce sont des personnages froids, désincarnés qui traversent sans réaction apparente des situations impliquant pourtant un profond mal-être. Pire, une telle succession des situations intenses sans aucune justification psychologique devient vite irréaliste. À mi récit, on comprend que l’autrice n'a rien à raconter et qu’à défaut de rebondissement psychologique, elle essaie de donner le change avec des rebondissements «physiques». Déménagement, changement de petit ami, de groupes d’amis etc. Bilan : Sally Rooney a su écrire une nouvelle plaisante (le premier quart du roman, 90 pages). Ensuite, en panne d'idée, elle a essayé de faire illusion en nous servant une pale copie de Less Than Zero avec 30 ans de retard. MARKETING [attention, Spoilers !!] Le roman a d'énormes qualités marketing. Juliette Arnaud passe sous silence tous les défauts du roman et lui invente dans sa conclusion une qualité qu'il n'a pas (un soi-disant sous texte sur la capacité des gens à changer). Pourquoi une critique aussi biaisée ? La quatrième de couv parle aussi d’un «roman magistral sur la jeunesse, l’amitié, le sexe, et sur cette génération qui n’a plus droit de rêver mais qui s’entête à le faire». Or le roman ne dit rien sur l’amitié ni sur le sexe. Aucun des deux personnages n’a d’amis, il gravitent dans des groupes de connaissances, des copains/copines de fac souvent médisants, des relations superficielles qui se délitent en quelques mois. Côté sexe, le roman ne dit strictement rien. Bien sûr l’héroïne prend l’habitude de jouir en étant attachée ou fouettée par son petit ami avec une ceinture. Mais on ne le sait que par simple allusion. Quoique le point de départ soit implicite, on ne connaîtra jamais l’itinéraire émotionnel qui a amenée Marianne à prendre du plaisir de cette façon, ni ce qu’elle éprouve pendant l’acte, ni son ressenti après. Côté rêve, c’est le vide absolu. À aucun moment le roman ne parle des rêves des deux personnages principaux et encore moins de ceux de leur génération. L’autrice ne parle ni de leurs projets de vie, ni de leurs idéaux, ni même du fait qu'ils en ont ou pas. L'autrice décrit juste des êtres neurasthéniques qui ont de bonnes notes en fac, vont boire un coup avec des potes et change de petit(e) ami(e) comme de chemise, sans voir plus loin que le lendemain. Le roman a été en apparence un grand succès à sa sortie en 2018. Un million d’exemplaires vendus, classé 25e dans la liste des 100 meilleurs livres du 21e siècle du Guardian et une adaptation en série télévisée (BBC-Hulu) l’année suivante. Comme d’habitude, la maison d'édition du roman et les journaux élogieux sur le roman appartiennent tous au même groupe multimédia. Quelle coïncidence. Donc les chiffres de vente et les avis de la presse sont aussi fiables qu’une élection dans une république bananière. L'adaptation télévisée est sans surprise : bien que les scènes de galipettes horizontales n’occupent que 1 % du roman, elles représentent une part importante du métrage de la série. Celle-ci choisit d’attirer le chaland avec de la fesse tout en se cachant derrière l’alibi classique de l’adaptation d’un roman sensible et profond. Une stratégie désespérée et logique dans le contexte actuel de mort lente des grandes chaînes de télévision occidentales. Je n’ai rien contre la fesse, bien au contraire, mais ne voyez pas dans l'existence de cette adaptation un gage de qualité du roman. Les deux personnages principaux ont grandi dans la même région que l’autrice et ont fait, comme elle, des études au Trinity College de Dublin. Néanmoins, le roman ne dit rien ni sur cette région d’Irlande, ni sur le prestigieux Trinity College. L’autrice n’a pas la moindre idée pour les faire vivre dans son roman. Elle voulait juste que le lecteur attribue par défaut au récit la profondeur d’un récit partiellement autobiographique. De même, aucune ponctuation ne signale les dialogues. Mais la petite gymnastique que cela impose au lecteur n’est pas gênante. Il est possible que cette coquetterie dactylographique soit une tentative de conférer au récit - à peu de frais - une apparence d’authenticité. Je me réjouis de cette réussite marketing autour d'un roman aussi médiocre que 'Normal People'. J'y vois un signe de vitalité économique de la littérature malgré une évolution difficile du marché du livre depuis trois décennies. Je me dis que si un roman mauvais est publié avec succès, alors les bons romans ont aussi une chance. Avec toujours la crainte que les 'Normal People' prennent la place des bons livres chez les éditeurs et relèguent dans l'ombre un texte talentueux.
@francoisecastan9891 Жыл бұрын
Béatrice chauvel la bobo de service ça fait bien de démonté des vrais choses de la vie ah ces gauchos🤮🤮🤮
@JuML Жыл бұрын
Vous n'avez pas lu Normal People, ou vous êtes complètement passée à côté. Je suppose surtout que vous avez lu la très mauvaise traduction française qui ne rend pas justice à la justesse de l'écriture originale en langue anglaise. Beaucoup de ce que vous affirmez ici est simplement faux. Un seul exemple : Marianne ne prend pas de plaisir lors des rapports violents avec son copain Suédois auxquels vous faîtes allusions. En ayant lu le livre correctement, on comprend directement pourquoi elle s'adonne quand même à ce type de pratiques. Elle est dans un processus d'autodestruction suite aux violences qu'elle a subi dans sa famille et dans sa vie sociale plus tard. Rien de plus simple à saisir. Ce que traverse Marianne et Connell, nombreux sont celles et ceux qui ont vécus des histoires similaires et qui se reconnaissent dans les personnages et dans leurs émotions, ça n'est peut-être pas donné à tout le monde mais ça reste suffisamment compréhensible et juste pour trouver un écho chez le lecteur ou la lectrice, en principe. En ce qui concerne les amis et le sexe, je trouve que l'approche de ces thématiques dans le livre aurait peut-être pu être différente et parfois meilleure j'en conviens (surtout pour les amis), mais elle reste proche de la réalité d'aujourd'hui et facteur d'identification. Concernant la sexualité plus précisément, comme dans la série, elle est réaliste, toujours justifiée et elle raconte toujours quelque chose. Les scènes de sexe n'ont rien de cliché, elles montrent notamment l'évolution de la relation, sa complexité. Pour les amis, la relative solitude des personnages est aussi assez réaliste et la dureté de la vie sociale aux âges que traversent les protagonistes, avec son lot de jugements hâtifs, de harcèlement et d'importance démesurée accordée à la popularité et à la réputation est là encore très juste. Les personnages sont tous les deux assez solitaires, pour des raisons très différentes, ce qui ne les empêche pas d'avoir des vies sociales à différents moments du récit mais n'efface pas ce trait tenace de leur personnalité et de leur histoire pour autant. Normal People n'est peut-être pas exempt de reproches mais les points sur lesquels vous attaquez sont soit complètement erronés (le manque d'émotions... Quand même, ne soyez pas de mauvaise foi non plus) soit, témoigne d'une lecture complètement à côté de la plaque de votre part. Bien sûr, le livre est aussi le témoignage d'une certaine jeunesse à une certaine époque et j'imagine que ce qui y est décrit n'est souvent pas suffisamment proche de soi et de ses propres expériences pour que certaines générations puissent s'y identifier ou s'y reconnaitre. Ce n'est pas grave, tout n'est pas fait pour être apprécié et compris par tous et toutes. Pour la série, elle est au contraire une très bonne adaptation (ce qui est suffisamment rare pour être salué) du livre. Les scènes de sexe ne sont pas dérangeantes mais compréhensibles et bien insérées dans le récit. Elles disent quelque chose, elles ne sont pas "gratuites" et elles restent réalistes, comme dans le roman. C'est au contraire appréciable. Votre commentaire sur ce livre est dur et surtout injuste. Bien sûr, les goûts et les couleurs, tout le monde ne peut pas forcément être touché par le récit et/ou l'écriture de Sally Rooney mais quand on est à ce point à côté de la plaque dans la compréhension d'un livre c'est dommage de dépenser tant d'énergie à le descendre avec de mauvais arguments. Je vous conseille si ce n'est pas déjà fait et si votre niveau d'anglais le permet la lecture en langue anglaise pour améliorer votre point de vue sur l'oeuvre. Et je recommande à tout le monde la lecture de Normal People, bijou de sensibilité et de justesse qui raconte la très belle histoire de deux jeunes gens qui tentent de s'aimer tout en naviguant entre la fin de l'adolescence et le début de la vie d'adulte, leurs traumatismes et leurs secrets tandis que leurs différences (sociales, économiques, académiques, d'ambition, de caractères etc) les éloignent sans réussir à les séparer.
@beatricechauvel8237 Жыл бұрын
@@JuML Rapports sexuels violents : c’est vrai, c’est implicite à la lecture, Marianne est attirée par des rapports sexuels violents, et y prend un plaisir autodestructeur à cause de son vécu familial. Mais ‘implicite’ ne fait pas l’affaire en l’occurrence. On est très loin du compte. On ne peut pas balancer ça comme un gimmick dans un récit, et ne pas expliquer l’itinéraire émotionnel du personnage. Sinon, c’est juste de l’esbrouffe. Ou plus exactement, c’est une des nombreuses preuves que l’autrice ne sait pas construire un itinéraire émotionnel au delà de la page 80. Avant, elle s’en tire correctement. Après, pendant 200 pages, c’est le néant. Le problème de ce roman, c’est l’inexistence émotionnelle des personnages pendant ces 200 pages. Normal People est un défilé de pantins désincarnés. La perte de repères et le vague à l’âme n’exigent pas moins d’écriture que d’autres émotions. Mais l’autrice n’était pas capable de les écrire. Sinon elle l’aurait fait. Voir le premier tiers du livre. Le reste de votre réponse est une réponse de troll : c’est à dire on aime pas le message mais on n’a pas d’argument alors on flingue le messager. Vous blâmez la traduction française, m’accusez de mauvaise foi sans donner d’exemples, puis d’être à côté de la plaque. Et tout de suite derrière, sans le moindre réponses aux défauts que je souligne (autre que "c'est faux !"), vous reprenez texto le baratin commercial de l’éditeur pour vendre ce ratage comme un roman générationnel. Je veux bien croire que derrière votre long message sans fond, il y a un peu de sincérité basée sur le peu d’importance que vous accordez à l’intrigue émotionnelle dans un roman. Et si c’est le cas, si vous aimez VRAIMENT lire des intrigues émotionnelles indigentes, je suis heureuse pour vous. Mais dans ce cas, on a rien à se dire. On vit sur des planètes littéraires différentes.
@beatricechauvel8237 Жыл бұрын
@@francoisecastan9891 Et c'est tout ? Tu lis un argumentation technique et tu ne peux pas faire mieux qu'une interprêtation politique complètement fumeuse en 18 mots ? C'est ça ton kiff ? Agresser des inconnues en ligne avec une vingtaine de mots sans rapport avec leur propos ? Bien sûr, je sais que certaines personnes viennent se défouler en ligne et ne sont donc pas très exigeantes sur la cohérence de leurs interventions. Mais si un passe-temps aussi pathétique améliore l'image que tu as de toi, alors je n'aimerais pas être dans tes chaussures.
@samycmoi870410 ай бұрын
Non
@pamquech26363 жыл бұрын
c'est moi ou elle nous a spoilé le livre??? que c'est agaçant de faire ça!!! pourquoi gacher le plaisir??
@enymoneto83372 жыл бұрын
normal people n’est pas un livre à suspens où tu verras un énorme retournement de situation par ex tu suis simplement la relation de deux personnages et leur évolution individuelle de plus, elle a résumé que les 100 premières pages (a peu près) sur 300.
@jihenchaaouri24622 жыл бұрын
Non mais vraiment tu vois qu’elle a spoilé le livre? Really? A mon sense elle est passée au côté de l’histoire. Elle vient de juste reprendre les événements très froidement. Du coup, crois moi que l’histoire est tellement riche en émotions et sensibilité qu’elle n’est pas arrivée à nous les transmettre…bon je vois qu’elle n’a rien fait.
@mdxd51423 жыл бұрын
oui tout a fait c' le terme pour définir la sosiétée francaise Ankyloser, a l'image de ses politique