Valery Gergiev conducts Mozart and Bruckner

[@elisabethbaumer-sn8go]

Die ueberwaeltigende Schoenheit der St. Florian Klosterkirche in Linz ist der passende Ramen zu diesem sehr eindruecklichen Konzert. Maestro Gergiev und Orchester in Hoechstform ! Herzlichen Dank an alle Beteiligten ! 💐💐💐💐💐💐💐💐💐💐💐💐💐

[@jodafoca]

A MEZZO sempre nos presenteou com excelentes programas musicais. Desta vez, serve-nos um Mozart e um Bruckner primorosamente interpretados pelo russo Gergiev, sem laço e sem complexos, apenas preocupado com o rigor da condução, fazendo "mexer" uma orquestra de excelência, numa perfeita sincronização dos diversos naipes instrumentais. Uma maravilha. Som e imagem de grande qualidade. Excelente vídeo !

[@MassimoMedici-zb5cf]

Der große Valery Gergiev ehrt den Titanen Anton Bruckner.

[@brutusalwaysminded]

Ah, perfect. Thank You! ❤🙏🏼

[@indemidova]

Thank you for this wonderful performance. 🌸🌹🥀🌺🌷

[@donalfonso2]

tHANKS :)

[@michelloncin5823]

Voici peut-être l'interprétation IDEALE de la 9ème symphonie d'Anton Bruckner par Valery Gergiev et le Münchner Philharmoniker à l'abbaye de Saint Florian en 2018 ... Depuis lors, Valery Gergiev a été viré IGNOMINIEUSEMENT non seulement de Munich mais de TOUTES les institutions occidentales pour des raisons EXTRA musicales de basse politique ... Nous n'aurons PLUS JAMAIS le BONHEUR de l'entendre en Europe ... Dans tout enregistrement de la 9ème symphonie de Bruckner, j'écoute en tout premier lieu l'extrême fin de la Coda "cataclysmique" du 1er mouvement, en cette harmonie de 6te napolitaine (dissonance FONDAMENTALE de la symphonie) littéralement "aspirée" par la tonique "Ré" (à ce point répartie sur quatre octave de la partition qu'elle agit comme un "trou noir"), sans passer au préalable par la dominante "La" : le mi bémol "napolitain" des cuivres aigus "aspiré" vers "ré" quand le "sol" des cordes et bois aigus (accord de 4rte et 6te "ré-sol-si bémol") s'élève au "la" de la 5te à vide "ré-la" ... Si cette "aspiration" est insatisfaisante à "l'oreille" (c'est toute la responsabilité du directeur d'orchestre d'assurer le parfaite équilibre de cet "ars" brucknérien du déploiement des voix orchestrales), cette "scrutation" quasi hallucinée du Mystère de l'Eternité, essence de cette Coda, est RATEE ... SURTOUT qu'un dernier "danger" existe dans les ultimes mesures quand les trompettes et trombones retombent à l'unisson sur "ré" ce qui risque d'amoindrir la 5te vide dans le cas où la prégnance du son "la" n'est pas assurée (Bruckner, qui n'a jamais entendu la partition, aurait peut-être dû garder un "la" à la 1ère trompette et au 1er trombone) !!! Gergiev la réussit parfaitement ... encore que le mi bémol napolitain pourrait être plus sonores aux cuivres ... Avec un sûr instinct, Sébastien Letocart, dans sa réalisation du Finale 'inachevé" (voir You tube), ramène cette dissonance fondamentale du degré napolitain pour la "résoudre" par un accord de Ré Majeur ... C'est que, dès le début de cette "Coda de la Coda", il évite la prégnance de la 5te à vide (Ré-La) en faisant entendre constamment la 3ce mineure "ré-fa" en "alternance" avec l'harmonie napolitaine sur le motif issu du Trio du Scherzo traité en "choral", préparant ainsi, par l'accès à la dominante "La" cette résolution finale en Ré Majeur ... Mais alors ... quel éblouissement de LUMIERE ... notamment grâce au motif de l'Adagio élevé, quasi "à l'assaut du Ciel", à la 6te Majeure "si" de la tonalité de Ré Majeur ... !!! Je ne le dirai jamais ASSEZ : c'est cette réalisation de Sébastien Letocart qui DEVRAIT s'imposer préférentiellement à celle du quatuor italo-australien ... Mais pour cela, il faudrait des directeurs d'orchestre de tout premier plan ...