Mais sans être la cause ethiologique, les écrans peuvent-ils conforter / entraîner / favoriser un comportement / symptôme lié à un trouble dit neuro-developpemental ? Par ailleurs, en négatif, le rendement pédagogique devrait aussi être comparé. Si un usage numérique est positif mais très faible, il est néfaste et fera prendre du "retard" aux élèves. Enfin, j'imagine que ce qui va être très difficile à évaluer, c'est la dimension interactionnelle. Par intuition, et sur le fondement de ce qu'on sait sur le langage et l'apprentissage, les usages des adultes sont sans doute déterminants en terme d'imitation et sur la quantité et la qualité des interactions avec l'enfant.