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@shaddouida34479 ай бұрын
L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)🌎🌍🌏🌐🌐🌐🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏
@shaddouida34479 ай бұрын
Une étude suggère que le cosmos fusionne avec des « bébés univers » parallèles Un article récent aborde une nouvelle théorie sur l’expansion de l’univers. Elle postule qu’elle pourrait non pas être le résultat de l’énergie noire, mais de la fusion constante de notre cosmos avec des « bébés » univers parallèles. Explications. Le problème de l’énergie noire Selon le modèle cosmologique standard, l’expansion accélérée de l’univers est attribuée à l’existence de l’énergie noire. Cette substance mystérieuse aurait une pression négative, ce qui provoquerait une force répulsive, s’opposant à la gravité et contribuant ainsi à l’expansion continue du cosmos. L’énergie noire n’a cependant jamais été directement observée ni mesurée en laboratoire. Son existence est postulée pour expliquer les observations cosmologiques, mais son invisibilité pose forcément un défi conceptuel. Au cours de ces dernières années, certains astrophysiciens et cosmologistes ont ainsi remis en question l’idée même de l’énergie noire en explorant des alternatives. Des théories modifiées de la gravité, telles que la modification de la relativité générale, ont notamment été proposées comme substituts potentiels, bien que tout cela reste théorique Une nouvelle théorie Une étude récente propose une autre approche théorique en suggérant que l’expansion accélérée pourrait être expliquée par la fusion constante avec d’autres univers parallèles, que les scientifiques qualifient de « bébés » univers. Cette théorie se base sur des calculs mathématiques. Dans leur article, les chercheurs affirment que la fusion avec d’autres univers augmenterait le volume de notre univers. Cette augmentation de volume pourrait être perçue comme une expansion du cosmos, ce qui correspondrait aux observations du fond diffus cosmologique, la rémanence du Big Bang. Par ailleurs, les calculs basés sur cette théorie semblent correspondre plus étroitement aux observations de l’univers que le modèle cosmologique standard. Cela suggère que la fusion avec d’autres univers pourrait fournir une explication plus plausible de l’expansion actuelle. Une possible explication à l’inflation cosmique La théorie aborde également l’inflation cosmique, un concept clé en cosmologie qui postule une expansion extrêmement rapide de l’univers dans les premiers instants après le Big Bang. Pendant la période d’inflation, le cosmos aurait en effet connu un taux d’expansion environ 10^26 à 10^30 fois plus rapide que l’expansion actuelle. Cette phase d’inflation cosmologique aurait également duré brièvement, probablement de 10^-36 à 10^-32 secondes après le Big Bang. Cette phase d’expansion intense, qui se serait finalement diluée pour donner lieu à l’expansion plus lente que nous observons aujourd’hui, résout certains problèmes et explique certaines observations, comme l’homogénéité et l’isotropie de l’univers observable. Dans le cadre de la nouvelle théorie, les chercheurs suggèrent une alternative à l’inflation en reliant l’inflation cosmologique à l’absorption de notre jeune univers par un univers plus grand. Selon cette idée, l’expansion ultra-rapide dans les premières millisecondes pourrait donc résulter de cette absorption plutôt que de l’action d’un champ d’inflation. Bien que la théorie résolve certains problèmes conceptuels, les chercheurs soulignent que seule la validation expérimentale à travers des observations pourra confirmer ou infirmer leur hypothèse. Les instruments comme le télescope Euclide et le télescope spatial James Webb sont mentionnés comme des moyens potentiels de tester ces idées. Une civilisation de type I est capable d'accéder à l'intégralité de l'énergie disponible sur sa planète et de la stocker en vue d'une consommation. Une civilisation de type II peut consommer directement l'énergie d'une étoile. Une civilisation de type II va un peu plus loin. Elle est capable de construire l'une de ces fameuses « sphères de Dyson » qui lui permettrait de consommer la totalité de l'énergie produite par son étoile. Une civilisation de type III, enfin, serait capable de faire de même avec toutes les étoiles de sa galaxie. Ces civilisations de types IV , V voire VI seraient capables de manipuler les structures cosmiques (galaxies, amas galactiques, superamas) et même d'échapper au Big Crunch par des trous dans l'espace. Après avoir acquis la maitrise de l'énergie disponible dans l'univers, une civilisation de type cinq correspond à une civilisation qui a découvert le moyen de voyager vers d'autres univers et de tirer parti de la puissance de multiples univers. Type VI : le niveau énergétique de plusieurs univers additionnés s'établit aux environs de 1066 W, dans le prolongement des niveaux inférieurs. cette civilisation pourrait abandonner un univers mourant et devenir éternelle ; des civilisations moins avancées en aurait également la possibilité. Type VII : déité capable de créer des univers à volonté, et de les utiliser comme sources énergétiques. Leur puissance énergétique est virtuellement infinie, seulement limitée par le nombre et la taille des univers créés et s'élèverait à la hauteur vertigineuse de 1076 ou même 10100 W. Ce type de civilisation serait vraisemblablement immortelle, car la création d'univers nécessite que la civilisation soit extérieure aux univers créés.🌏🌎🌍🌠🌠🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽👽👽👽
@shaddouida34479 ай бұрын
Un cristal temporel utilisé avec succès pour stabiliser les calculs d’un ordinateur quantique Pour la première fois, l’intégration d’un cristal temporel dans un ordinateur quantique a permis de stabiliser l’état quantique des qubits dans le cadre d’une récente expérience. Inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger, le système utilise des séquences de micro-ondes pour former un cristal temporel filtrant les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique. La stabilisation des états quantiques représente un défi majeur pour l’essor de l’informatique quantique, une technologie prometteuse qui pourrait révolutionner le traitement de l’information. Récemment, une équipe de chercheurs de l’Université de l’Académie des sciences de Chine a franchi une étape significative dans ce domaine. Le travail, publié sur la plateforme de pré-impression arXiv, démontre l’utilisation d’un cristal temporel en tant que « bouton de contrôle » pour stabiliser un état quantique fragile, inspiré par le célèbre paradoxe du chat de Schrödinger. En utilisant des séquences micro-ondes pour former le cristal temporel, le système protège ainsi l’état quantique des qubits contre les perturbations. La naissance des cristaux temporels L’idée des cristaux temporels a été introduite par Frank Wilczek en 2012. En proposant l’existence d’un état de la matière qui oscille de manière périodique sans consommation d’énergie externe, Wilczek a remis en question des principes fondamentaux. Cette oscillation, qui en réalité n’est pas perpétuelle (interdit par les lois de la physique), défie tout de même l’intuition première sur l’équilibre thermodynamique et la conservation de l’énergie. Initialement accueillie avec scepticisme, la théorie a gagné en crédibilité à mesure que des expériences ont confirmé la possibilité de créer de tels états, transformant une curiosité théorique en une réalité expérimentale. Contrairement à ce que suggérait Wilczek cependant, un cristal temporel nécessite bel et bien un apport d’énergie externe. Le récent exploit du physicien Biao Huang et de son équipe a permis de franchir une étape supplémentaire en matérialisant ce concept dans le domaine de l’informatique quantique. En intégrant un cristal temporel discret au cœur d’un ordinateur quantique, ils ont non seulement démontré la faisabilité de ces états dans un système strict, mais leur ont aussi trouvé une application pratique concrète. Le cristal temporel agit comme un régulateur, ou un « bouton de contrôle », qui maintient les qubits dans un état de fluctuation temporelle contrôlée. Cette stabilité des états quantiques est essentielle pour le calcul et la communication quantiques. Le défi de la stabilisation d’un état quantique fragile Les qubits, unités de base de l’information dans un ordinateur quantique (à l’instar des bits dans un ordinateur classique), peuvent exister dans des superpositions d’états, c’est-à-dire être dans les états 1 et 0 simultanément, contrairement aux bits classiques qui sont limités à un état fixe à tout moment (0 ou 1). Lorsque ces qubits sont arrangés dans un état GHZ (Greenberger-Horne-Zeilinger), ils manifestent un enchevêtrement quantique à un niveau profond, signifiant que l’état de chaque qubit est intrinsèquement lié à l’état des autres, peu importe la distance qui les sépare. Cependant, cet enchevêtrement, bien qu’offrant des possibilités extraordinaires pour le calcul quantique, rend l’état GHZ extrêmement sensible aux perturbations environnementales. Cette sensibilité augmente avec le nombre de qubits impliqués, posant un défi majeur pour la réalisation d’états GHZ stables et exploitables dans des applications pratiques. Face à cette vulnérabilité, l’innovation apportée par l’utilisation d’un cristal temporel représente une solution ingénieuse. En exposant les qubits à une séquence spécifiquement établie de pulsations micro-ondes, les chercheurs ont pu induire une oscillation temporelle régulière des états quantiques, caractéristique d’un cristal temporel. Cette méthode a permis de créer un environnement stable, agissant comme un « abri » pour l’état GHZ. Autrement dit, le cristal temporel filtre les fluctuations et les perturbations externes qui pourraient autrement détruire l’enchevêtrement quantique.🌏🌎🌍🌠🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌐🌐🌐🌐👽👽👽👽👽
@shaddouida34479 ай бұрын
Comme un voyage dans le temps : le télescope spatial James Webb retrace l'histoire d'une galaxie née juste après le Big Bang Le télescope spatial James Webb a permis d’identifier et de retracer l’histoire d’une galaxie née juste après le Big Bang. Atlantico : Le télescope spatial James Webb a permis d’identifier et de retracer l’histoire d’une galaxie née juste après le Big Bang. Elle a été désignée comme la galaxie “WLM”, et se trouve relativement proche de la nôtre. Que sait-on, exactement, de cette voisine de la Voie Lactée ?
@shaddouida34479 ай бұрын
L'échelle de Kardashev Six types de civilisations Type I Type Il Capable de Capable de contrôler la totalité de l'énergie de son étoile hôte l'énergie à l'échelle et voyage à travers l'énergie solaire de sa planète et le système solaire de son ensemble galaxie hôte. @science_for_my_servants TypelV Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle de l'univers. (Créer des galaxies, manipuler l'espace-temps) Civilisation qui existe au-delà du temps et de l'espace, ou dans des dimensions supérieures. (Crée et détruit les multivers) TypeV. Capable d'utiliser l'énergie à l'échelle du multivers (voyager vers des univers parallèles et simuler des univers)🌎🌍🌏🌐🌐🌐🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌌🌠🌠🌠🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏🙏