Osons un nouveau champ de conscience. Osons une autre dimension. Quand l’infiniment petit est au service de l’infiniment grand.
@Libres279Ай бұрын
Grossièrement, c'est ce que je savais déjà des phénomènes quantiques, c'est-à-dire pas grand chose
@laurentcasa4011Ай бұрын
vous vous intéressez à la physique quantique c'est bien mais pour faire simple l'intrication n'est PAS un déplacement de matière. C'est une corrélation. L'intrication n'est PAS un déplacement d'énergie. L'intrication n'est PAS un processus. L'intrication n'est PAS un signal. . L'intrication n'est PAS un changement d'état. Un L'intrication n'est PAS une superposition d'états.. L'intrication n'est PAS une incertitude sur l'état. L'intrication n'est PAS une dualité onde-corpuscule. L'intrication n'est PAS une téléportation. L'intrication n'est PAS la même particule à deux endroits différents. L'intrication n'est PAS deux particules au même endroit.. L'intrication est une CO-RRÉ-LA-TIO il est vrai que beaucoup font cette l'erreur Mais ce n'est pas qu'une vulgaire corrélation comme une autre (genre discorde, ou corrélation classique ρxy=Cov(x,y)/σxσy ). C'est la corrélation la plus forte autorisée dans toute théorie vérifiant le principe de causalité de l'information (Pawlowsky 2009). C'est la corrélation qui lie toute paire de systèmes ayant des interactions mutuelles (les paires oui, deux-à-deux, marrant hein? On appelle ça entre experts la monogamie de l'intrication - caractéristique prouvée en 2000 par Coffman, Kundu et Wootters). On peut intriquer plusieurs sous-systèmes, mais au prix d'une moindre intrication bipartite. Elle a lieu naturellement. Sans arrêt. Mais elle disparaît vite lorsqu'un couple de système ayant interagi, interagit aussi avec plein d'autres systèmes environnants en permanence. En fait, elle ne disparaît pas vraiment, elle est toujours quelque part, mais on ne la voit pas bien lorsque les deux systèmes concernés forment ensemble un système ouvert: elle a fui dans l'environnement. Et comme on ne s'intéresse pas, par définition, à l'environnement…cela induit du bruit (appellé décohérence) dans l'état -du coup partiel- du système étudié. Enfin, histoire de dissiper une dernière confusion possible, l'intrication est un concept appartenant à la théorie quantique de l'information. De ce fait, elle se fiche que ce soit une intrication "de photons", ou "d'électrons", ou "photon-électron", ou "atome-photon", ou "photon-cavité" etc… Pour "l'observation"Aucun agent n'a jamais eu de pouvoir sur l'issue d'un résultat de mesure une fois la préparation terminée. Ce n'est pas la prise de conscience qui provoque un effondrement du paquet d'ondes, c'est le fait que les composantes des superpositions d'états d'un système observable se couplent nécessairement à des états de l'environnement, qui peuvent devenir distincts DONC PERSONNE N'EST CONNECTEES VOUS FAITES DU CONCORDISME NEW AGE CORDIALEMENT
@jjw5357Ай бұрын
Je préfère et de loin, les explications de Julien Bobroff déjà parce ce qu'il ne parle jamais de conscience quand il vulgarise la physique quantique. Il me semble qu'il n'utilise pas le terme "observation" mais plutôt "mesure" quand il parle d'expérience, bref je n'adhère pas à cette façon d'expliquer
@francoisjurbert6258Ай бұрын
Finalement, la superposition quantique correspond à la fontière entre le potentiel et le réalisé : rien n'est déterminé, tout est possible, mais pour être observé il faut se déterminer ... ?
@pysordesАй бұрын
On ne peut pas être a deux endroits en même temps... La position est juste indéterminée