Je tire mon chapeau à koenig qui fut attiré par cette pensée Un vrai libéral
@alejandrogillick67883 жыл бұрын
Merci pour cet entretien.
@yannickbossard69023 жыл бұрын
0:13 l'enfer, suivi d'une discussion sur la forme de ses écrits, conte ou essai. 4:35 est-il techno-critique ? Choisir ses applications ! 16:00 deux exemples d'applications vertueuses 17:46 opposition néolibéral à la 'Milton Friedman'/libéral tradi basé sur le respect des choix individuels 26:20 son voyage à cheval en 2020. Montaigne, fil conducteur, expérience matérielle et affective, hospitalité des gens rencontrés.
@karimremini45173 жыл бұрын
Je n’ai pas regardé la vidéo mais la réponse à la question est évidente
@greg54783 жыл бұрын
Il n'avait pas l'air très intéressé, le journaliste... 😅 Il aurait été intéressant, pourtant, d'approfondir ce débat sur les sociétés utopiques. Notamment, n'est-ce pas une utopie qu'une société dans laquelle le gouvernement aiderait chacun à bâtir son paradis personnel ? Keonig tient cette idée de libertarisme hybridé avec la providence en opposition avec le fait d'appliquer au monde un modèle de société désiré par une minorité ; mais son idée peut être vue comme telle. De plus, il y a un certain naturalisme de la tyranie et du contrôle qui semble se démontrer plus que jamais, en ces temps, et qui viendrait contrecarrer une telle société. Certes, la vertu ou le vice de la technologie se fondent en partie dans l'utilisation qui en est faite mais, le problème, c'est qu'elle est faite par les hommes et utilisée par les hommes -comme la république et la démocratie, qui sont des concepts vertueux dont on observe la décadence. Ainsi, je rétorquerais que même si j'envie certains aspects de son utopie, elle a des chances d'échouer car la liberté s'arrête souvent là où commence celle des autres. N'est-ce pas ce que l'on appelle le "droit" ? Qui dit liberté dit contrôle -c'est le paradoxe démocratique_ et là où l'état pourrait abandonner le contrôle, dans un monde libéral, l'espace laissé est vite dominé par les forces privées (libérales). D'ailleurs, n'est-ce pas le concept même du libéralisme le plus abouti ? Au nom de la liberté d'entreprendre, les gouvernements lâchent les rennes de l'économie et voilà que les prix des transports, de la téléphonie, de l'énergie etc. s'envolent, au détriment des plus précaires -les riches s'affranchissent des coûts comme ils s'affranchissent de la république.
@sonia-mariegaubert86013 жыл бұрын
Vous invitez vraiment n'importe qui !! Je n'écoute pas : peur de vomir !